Présentation

Il existe désormais une version duo de Un Violon Sans Frontières, dans laquelle François Requet est accompagné par Pierre-Marie Banholzer au bouzouki ou à la lyra crétoise.

Une image d’Épinal colle trop souvent au violon

Celle qui le donne à voir comme un instrument bourgeois, réservé à la musique classique, aux habitués de perruques baroques et aux cuistres déambulant dans les couloirs des opéras.

Ce cliché si restrictif tend malheureusement trop souvent à résumer l’univers de cet instrument, si bien qu’on en oublie parfois que le violon est avant tout un instrument populaire, un instrument de rue, et un instrument de fête.

Car le violon, c’est aussi cet instrument facile à transporter pour qui veut récupérer une mélodie partout où il passe, son instrument sous le bras.

Loin de se cantonner à la musique « savante » du monde occidental (mais y aurait-il vraiment une musique « ignorante » ?), le violon chante au sein de mille et une cultures. Il est même tellement omniprésent à travers le monde, qu’il nous rappelle qu’il n’est l’instrument que d’une seule culture : celle de l’universelle humanité.

C’est cette richesse du violon que François Requet voudrait présenter à travers Un violon sans frontière : du « fiddle » irlandais aux confins des Indes, des Amériques au monde arabe, en passant parla Suède, Vivaldi, la Turquie et les mélodies tziganes, il existe tout un « monde du violon » à rencontrer.

François Requet vous invite à venir découvrir avec lui diverses facettes de cet instrument, en s’autorisant à esquisser devant vous ce petit panorama du violon à travers le monde.

Il est peu de choses aussi grisantes que de transcender les frontières, et c’est à cela que le violon nous convie, alors n’hésitez pas à prendre rendez-vous avec lui !